[La rétro littéraire] La femme au portrait de Greg Iles

Bonsoir cette fois-ci ! Alors que je mate TMC à la recherche de mon tonton qui travaille dans la police de Bayonne, je vous propose une deuxième rétro littéraire. Après Cecelia Ahern, je vous propose de plonger dans un polar qui m’a totalement retournée et que j’ai A-DO-RE : « La femme au portrait » de Greg Iles.
Jordan Glass a tout pour elle. La quarantaine, belle et célibataire, elle est reporter photographe de talent renommée, talent qu’elle tient de son père, mort en prenant une photo ( qui lui a valu un Pulizter ) au Cambodge. Mais une chose l’a brisée treize mois plus tôt : l’enlèvement de Jane, sa soeur jumelle. Cette histoire l’a profondément marquée et elle commence seulement à s’en remettre. Mais elle va très vite retomber dans l’enfer. En effet, alors qu’elle visite un musée de Hong-Kong, elle découvre le portrait de Jane exposé à la vue de tous. Choquée de se voir face à son propre reflet exposé sur un mur, Jordan entreprend de mener son enquête. Elle découvre alors que le portrait de sa sœur fait partie d’une série de 19 tableaux simplement intitulée Femmes endormies. Ces tableaux, tous signés par un inconnu, représente des jeunes femmes de 20 à 40 ans allongées nues. Ce qui trouble Jordan c’est qu’elles ont toutes l’air . . . mortes. Mortes . . . ou bien simplement endormies ? Une chose est certaine, toutes ces femmes ont disparues sans laisser de traces. Jordan alerte le FBI qui réquisitionne le maximum de toiles et qui lui permet ainsi de participer à l’enquête. Avec l’agent John Kaiser, elle va, en plus d’enquêter, découvrir des choses sur son passé et sur son père . . .
J’adore les romans policiers comme ceux de James Patterson (auteur entre autres de la saga du « Women’s murder club » que je dévore à chaque sortie) mais là, je dois reconnaître que Greg Iles a fait un excellent travail. Contrairement à Patterson qui laisse parfois son tueur parler, Iles nous offre du suspense du début à la fin et on ne sait vraiment, mais alors vraiment pas du tout, qui est l’assassin à la fin car d’habitude je le trouve dès les premiers chapitres. Ici, il m’a totalement bluffée. Je trouve, de plus, l’idée de peindre des femmes mortes tout à fait remarquable mais ce qui le plus intéressant, c’est la méthode utilisée pour le faire. Bref, du suspense à en revendre, à dévorer et à peindre avec son esprit. (oui je sais c’est merdique comme métaphore)

2 thoughts on “[La rétro littéraire] La femme au portrait de Greg Iles

  1. Le parfait livre à amener à la plage ! Les policiers, c’est toujours parfait, et celui la semble vraiment bien !je ne connais pas du tout cet auteur cela dit.

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